s'en retournèrent sur Athies le long de la rive droite de la Scarpe, la rivière canalisée fut rejointe un peu plus tard par l'autre groupe à la sortie de Roeux, entre fleuve et marais, ou les pêcheurs étaient nombreux par ce doux dimanche de printemps. Arrivé à Feuchy par la rive gauche, le groupe traverse la Scarpe à la hauteur de l'écluse, une petite pose pour contempler cascade et beau jardin printanier,
et un petit bonjour aux ânes. de là retour sur Athies par les chemin en contrebas de la route en lisière de bois, et être surpris par le départ soudain d'un groupe de chevreuils dérangé par les éclats de voix.
De retour chez Geneviéve, le premier groupe avait fait les préparatifs du repas les tables et les plats étaient dressés. Tous le monde pris place pour une gigantesque "Raclette" pour 36 personnes après un petit apéritif "Kir-Normand" ou Breton comme on voudra! un petit "Hip-Hip" pour Hubert et Anne nos amis agriculteurs qui nous ont approvisionné en pommes de terres (choisis et trier pour nous) un petit mot de notre Président pour notre Hôte Geneviéve qui a super bien organisé la journée.
Après ce bon repas au grand air, une tasse de café et un bout de tarte ou de Babka "façon Marie-Lyse"
et tous le monde embarque (covoiturage toujours) vers Arras, les places et l'Hôtel de ville pour une visite du Beffroi. L'ascenseur ne prend que 6 personnes, plusieurs voyages sont utiles pour aboutir au bas de l'escalier en colimaçon qui méne à la plateforme au niveau de l'horloge.De là le tour d'horizon est imprenable.
Les uns aprés les autres le petits groupes redescendent et se retrouvent sur la place de Héros, pour rejoindre les voiture et se diriger vers le faubourg de Ronville, pour la visite des carriéres Wellington. Lieux de mémoire du conflit 14/18.Les carrières Wellington ont abrité plus de 20 000 soldats britanniques pendant la première Guerre Mondiale et sont devenues un haut lieu du souvenir. Composées de galeries souterraines de plusieurs kilomètres, elles ont d’abord servies à l’extraction de pierre de craies pour la construction des habitations de la ville au Moyen-Age. Habitées par les soldats pendant une bonne partie de la grande guerre au moment des batailles d’Artois, elle sont devenues aujourd’hui un musée de la mémoire accueillant un public de plus en plus nombreux depuis le 1er mars 2008.
Les Néo-Zélandais, pour se repérer dans ces souterrains longs d’environ 20 kilomètres, ont imaginé qu’ils se situaient dans leur pays. Ils ont ainsi donné des noms de villes de Nouvelle Zélande sous le quartier Ronville. Les Anglais ont fait de même sous le quartier Saint-Sauveur, avec des noms de villes de Grande-Bretagne correspondant à la géographie du pays.
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