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samedi 9 juin 2012

Week-End en Avesnois

Ce beau week-end de Pentecôte, une petite trentaine de Randonneurs Noyellois (mais pas seulement )
se sont rendu, dés le vendredi soir (les arrivées se sont étalé entre 15 et 21h) au gîte de groupe communal "Centre Lowendal"  de Le Quesnoy pour débuter ce séjour en Avesnois, par le premier repas du soir style auberge espagnole, chacun ayant amener un petit (et parfois gros) quelque-chose. Comme a l'accoutumez des retrouvailles joyeuses ont égayés la soirée.

Au petit matin (5h30 pour certain) le levé débutait! la journée était prévu "bien remplie" et avec un timing serré, la boulangerie se trouvant non loin, face à l'Hôtel de ville et son beffroi, n'ouvrant qu'a 6h30 les randonneurs avaient le temps de se préparer avant le petit déjeuner.
Le beffroi de l'hôtel de ville, massif et trapu, qui fut détruit de nombreuses fois, en 1794, 1918 et 1940. Le premier beffroi fut construit en 1583. Il abrite aujourd'hui un carillon de 48 cloches. Directement contigu au beffroi, l'hôtel de ville bâti en 1700, offre un bel exemple de bâtiment de style classique. L'escalier d'honneur dans le hall est un chef-d’œuvre classé..
Départ 8H pour Prisches, le covoiturage établi pour les véhicules, le convoi se dirige vers la ferme des Linières à Prisches à 20 minutes de route.

A la descente de voiture, les randonneurs entament le circuit des "Boutons d'Or"
Circuit bocager, qui longe les haies champêtres, faite de prunelliers et d'aubépines. Parfois pour renforcer son rôle de barrière les jeune pousse son mis à l'horizontale et tressés entre elles.
et les rues à l'habitat caractéristique de l'Avesnois
parsemé de relique du passé, oratoires, chapelles...
Les odeurs de la campagne caressent les narines des marcheurs.
foins coupés, fleurs printanières (aubépines)

Un bon rythme et donné, pour ne pas rater, l'heure du rendez-vous pour la visite de la fromagerie.

La visite de la "Ferme des Linières" de Mr et Mme Lévêque à Prisches débute par la laiteries de la ferme
La salle de traite moderne
Des installations moderne, présentées par un fils de la famille, qui fait passer dans sa présentation tout l'amour de son métier.
                                               
qu'il partage avec sa soeur et son frère, qui reprennent peu a peu l'entreprise mise en place par leurs parents voici 25 ans.
Salle de fabrication des fromages
Les vaches laitières en stabulation libre sur sable
A la suite de la visite des installations, le groupe est convié a une dégustation de fromage et de produit de la ferme, rillettes de canard et d'oies, flamiche au maroilles, Carré Prischois, Boulette d'Avesnes, et bien entendu le fameux Maroilles.
le tout accompagne par de la bière artisanale de l'Avesnois.
Après cette petite pause dégustation, direction les caves de la ferme.
Des caves très anciennes, voûtées en brique et pierres bleus
Carré Prischois à l'affinage
construite au dessus d'un puits qui assure une humidité régulière et constante
là les fromages, s'affinent au calme (entre deux visites)
 Maroilles AOC à l'affinage

Boules de Mimolette en affinage dans une autre salle, moins humide
L'heure du repas de midi approchant les propriétaires, nous ont gracieusement offert de profiter de leurs installations extérieures, pour notre pic-nique

Une grade table et une tonnelle, furent grandement apprécié de tous.
Les 14 et 15 juillet 2012 comme tous les ans, la Ferme des Liniéres, vous invite a venir découvrir ses productions.
Dégustation des nouveaux fromages, visite de l'élevage d'oies, pourla fabriquation du foie gras.
possibilité de se restaurer sur place avec les produit de la ferme (toast de foie gras,flamiche-poulet, salade, tarte au sucre)
Visite des instalations de 10H00 à 19H00 avec possibilité d'assister à la traite des vaches entre 17 et 18H
Réservation souhaité pour la restauration.
Ferme des Liniéres  Mr et Mme Lévêque, 1095 les liniéres 59550 Prisches Tel 0327779327
A l'issue de notre repas, la boutique de la Ferme des Linières fut prise d'assaut, quelque dizaines de Maroilles, des carrés Prischois, des Boulettes d'Avesnes, des rillettes de canard, ainsi que d'autres dérivés, et des flamiches, furent embarqué dans les véhicules (bonjour l'odeur!)
Pour l'après midi direction Maroilles à une dizaine de kilomètres, pour le circuit de Dame Marguerite
Le Circuit de Dame Marguerite, tire son nom de l'ancienne voie stratégique qui reliait autrefois Avesnes-sur-Helpe à Le Cateau et qui fut réaménagée au 15ème siècle sous Marguerite d'Autriche, alors gouvernante des Pays-Bas.
le chemin emprunte une direction bucolique
très fleurie. Petites routes de campagne et chemins de terre se succèdent à la découverte des fermes remarquables de la vallée de l'Helpe Mineure. le charme caractéristique des anciennes fermes en "L" qui abondaient autrefois dans la vallée de l'Helpe.
Au détour de sentiers sinueux et de maisons anciennes, cette dernière dévoile au promeneur un bel écrin de verdure dont la végétation bocagère et les vastes prairies moutonnantes font depuis des siècles le bonheur des amoureux de la nature.
                                      
Linteau de porte typique en pierre bleue

A mi-chemin Jean-Marie le frère de Marie-Ange, avait prévu une halte ravitaillement, appréciée de tous.
Le peuple des abreuvoirs observe le passage des marcheurs.
Retour sur Maroilles, et son Arc de Triomphe.
Son kiosque à musique
Son Eglise St Humbert
L'Eglise  Saint Humbert
 Reliques de St Humbert

Longtemps considérée comme la plus prospère du Hainaut, l'abbaye fondée en 652 par Saint Hubert - celui-ci en fut le premier abbé - sera finalement pillée durant les heures sombres de la révolution française. Parmi les vestiges qui témoignent d'un passé riche en histoire et en traditions, le quartier des hôtes, le moulin, ou encore les anciennes orgues de l'abbaye qui ornent désormais l'Eglise Saint Humbert,
Les anciennes orgues de l'abbaye qui ornent désormais l'Eglise Saint Humbert
Le fontaine de la place
Le Moulin de l'Abbaye

Et sa roue
C'est grâce à l'ardeur et à l'abnégation des moines qu'abrite son abbaye bénédictine que la petite bourgade de Maroilles décroche au fil des siècles, malgré le tumulte d'invasions et de destructions multiples, le titre honorifique de "Noble Cité du Fromage".
Stèle commémorative de la création du fameux fromage local, érigé en 1960 pour le 1000éme anniversaire.
A l'issue de la ballade
Retour chez Jean-Marie, où le groupe remet, un petit présent a Marie-Ange et Gérard , les initiateurs de ce week-end, et qui profitait de cette occasion pour son pot de retraite.
Un petit geste également pour Jean-Marie pour son hospitalité et sa gentillesse. le groupe profita pleinement, des installations mise à disposition par Jean-Marie, et décida de faire son repas du soir en plein air. au menu, frites/saucisses, la baraque à frite du centre de Maroilles n'étant pas loin!
La journée de ce samedi se termina dans une bonne ambiance comme il est de tradition chez les Randonneurs Noyellois.

Dimanche matin direction Felleries, à 45 minutes de route, pour la visite de l'Ecomusé des bois jolis
Musée des Bois Jolis

18 rue de la Place 59740 FELLERIES
Tél : 03.27.59.03.46 Fax : 03 27 60 88 88

                                                  
Le musée des Bois Jolis de Felleries est installé dans un cadre superbe à l’atmosphère magique : un ancien moulin à eau dont l’existence est attestée dès 1466 et qui produit encore de la farine. Unique exemple d’ "usines à deux tournants" ( deux meules chacune actionnée par une roue de 3 mètres de diamètre ) de la région, Nord- Pas de Calais, il abrite les témoignages d’un artisanat estimé en Avesnois : la boissellerie ou tournage sur bois.
Les salles d’exposition regroupent un nombre important de " bois jolis" : objets domestiques ou liés à la vie rurale et industrielle, jeux traditionnels, issus des essences d’arbres de la forêt qui entoure Felleries. Les outils de travail et des documents photographiques (1880-1900) sont aussi présentés.
Mise en route de la roue a godets
Démontration de tournage sur bois, fabrication d'une toupie.La profession de tourneur sur bois n’apparaît dans les textes concernant Felleries qu’à partir du XVIIIème siècle. C’est à cette période que la boissellerie devient une grande spécialité du village et une branche importante de l’industrie avesnoise
Résultat final, une superbe toupie, jouet d'antan!
Extrait du livre "Description du Nord" de F. Grille 1825-1838 : " L'arrondissement d'Avesnes étant couvert de bois, offre de grandes ressources pour le commerce de la boisselerie. Felleries est le centre de cette fabrication, qui s'étend ensuite dans plus de trente à quarante communes aux alentours. Il n'est sorte d'ustensiles que les boisseliers n'exécutent, depuis les cuillers, les écuelles, les égrugeoirs, les livrettes ou machines à mesurer le beurre, les éclissons ou moules pour les fromages, jusqu'aux boîtes à poivre, gobelets d'enfants, pièges pour les souris, robinets, etc.
 On compte plus de cinquante objets différents fabriqués Felleries : pelles à remuer le grain, manches d'alênes et de faucilles, attelés pour harnois, ellettes pour filer le lin et la laine, bobines, fuseaux, rouets de toutes qualités, cercles de tambours, sabots ordinaires, sabots flamands, sabots longs dits incroyables. Ces produits et tous ceux de la même nature obtenus dans le Nord sont consommés pour moitié dans le département même ; l'autre moitié s'expédie dans les provinces voisines, soit françaises, soit belges et hollandaises : il en est fait aussi des pacotilles pour l'Amérique.
La prochaine édition de la fête de la boissellerie qui se déroulera le dimanche 21 avril 2013
                                     
Départ du moulin pour une petite rando dans les bois de Felleries, a l'arriére plan une ancienne brasserie.
Maison de Felleries, autrefois sans étage, les dernières guerres ont modifier beaucoup d'entre elles.
la montée vers la forêt
Une forêt, ou l'eau ruisselle de partout dés l'entrée, La prédominance de cette forêt et le manque de fertilité des terres labourables ont très tôt conduit les habitants à développer une économie à partir de la seule ressource qui paraissait inépuisable : le bois.
En plus du bûcheronnage, du charbonnage et du sciage, activités habituelles des communes forestières, de nombreuses spécialisations dans le domaine de la boissellerie font leur apparition au fil des siècles : sabotiers, fabricants de salières, de boites ou de tèles, s’installent dans la commune et permettent son expansion.
Pour le repas du midi, direction Liessies, sur le site de l'ancienne Abbaye. Situé au coeur de l'Avesnois couvre une superficie de 1760 hectares dont 1150 de forêts presque autant en pâturages; tout cela pour une population de 500 habitants, un relief vallonné et une activité essentiellement tournée vers l'élevage avaient conduit M.Quinet, maire et fondateur du syndicat d'initiative (1937), a rebaptiser sa commune " La petite Suisse du Nord ". Et pour que les choses soient plus claires encore il l'avait élevée au rang de :

<< Cure d'air officielle, recommandée par le corps médical >> !!!

Wilbert, un seigneur Poitevin, reçoit des terres de Pépin le bref, il fonde une abbaye sur le site enchanteur de Liessies son fils Gontrad en prend la direction, sa fille Hiltrude refuse de se marier à un seigneur voisin, s’enfuit dans la forêt puis revient, lorsque le dit seigneur renonce à l’épouser .Elle épaule alors son frère dans la gestion de l’abbaye. St Hiltrude meurt en 785, en 1004 des miracles s’étant produits sur son tombeau, l’évêque de Cambrai reconnaît ses mérites et tente d’organiser le culte qui lui est dû. Il veut installer des moines à Liessies, mais les chanoines en place s’y opposent .
Ce n’est qu’en 1095, que Thierry Seigneur d’Avesnes et sa femme Ade fondent l’Abbaye de Liessies.
Dés lors, l’Abbaye connaîtra des fortunes diverses.
- Ecole de calligraphie et d’enluminures au XII éme et XIII éme siècles.
- Temps difficiles aux XIV éme et XV éme siècles : la guerre de 100 ans est passée par là.
- Au XVI éme Louis de Blois va redorer le blason de Liessies. Ecrivain reconnu à la Cour de Charles Quint, il rétablit la règle Bénédictine dans toute sa rigueur.
Grâce au culte de St Hiltrude Liessies va préserver un peu du lustre d’antan. Mais peu à peu la foi s’estompe et en 1963, se déroule la dernière procession dans les rues du village . Pourtant dans les années 30, les journaux locaux estimaient le nombre de pèlerins venus solliciter les grâces de Sainte Hiltrude entre1500 et 5000 personnes.
 Ce sont maintenant les randonneurs qui se rendent à la chapelle dédiée à Ste Hiltrude (quand ils ne se trompe pas de direction) cachée dans la forêt domaniale. Et si Liessies connaît encore des moments d’affluence c’est à la brocante quelle le doit : autres temps, autres mœurs.
 A la suite du pic-nic une petite promenade digestive dans les sous-bois du parc de l'Abbaye, qui nous méne ver le Château de la motte (XVIIIè)
  qui est une ancienne dépendance de l’Abbaye de Liessies, entre forêt et étangs. C’est aujourd’hui un haut lieu de la gastronomie Avesnoise.
Car Liessies c'est aussi la terre qui accueilli, durant huit siècles, une abbaye au rayonnement sans cesse croissant et qui connaîtra son apogée avec Louis de Blois.  
 Si l'on excepte l'église du XVI eme, inscrite à l'inventaire des monuments historiques, la plupart des édifices à vocation religieuse ont disparu. Mais il subsiste de nombreuses constructions à vocation économique regroupées autour du Parc de l'Abbaye (propriété du Département du Nord.
Le parc était la preuve de la richesse des moines : viviers, potagers, vergers, prairies humides... les nombreuses allées qui quadrillent le parc sont à la fois des délimitations des anciennes zones de culture et des itinéraires tout tracés pour la prière des moines... Des arbres centenaires, des petits ruisseaux enjambés par des ponts, des passages en sous-bois...


Eglise de Sainte Hiltrude à Liessies

 A l'issue de la promenade, un petit rafraîchissement, et direction Fourmies. Au sein du bocage de la Thiérache et du Parc naturel régional de l’Avesnois, les 13 000 habitants disposent d’espaces verts qui couvrent plus de la moitié de la ville dont 1 000 hectares de forêts. Ou en ce wee-end de Pentecôte nous retrouvons d'autre groupe qui dans d'autre activités ont eux aussi choisi l'avesnois comme lieu de promenade, exemple un splendide Rallye touristique de voiture anciennes
 Notre halte ce fera au musé du textile et de la vie sociale, situé dans unbatiment industriel. L’usine, créée par un promoteur, est exploitée par L. Douvin jusqu’en 1908, puis elle devient la propriété de François Masurel jusqu’en 1978.

La construction est en briques, des arcades ornent la partie supérieure des murs et le socle de la cheminée est constitué de bandes lombardes. De grandes fenêtres en rez-de-chaussée éclairent les ateliers, ou sont exposé différentes machines textile. La charpente est en bois, les piliers de soutènement en fonte et la toiture est disposée en sheds.

 Le musée installé dans cette ancienne usine présente les phases du machinisme pour les opérations de filature et de tissage, les métiers artisanaux du textile, le traitement du linge.
Témoin de l’époque où Fourmies était centre Mondial de la Laine Peignée, il traite également de la réalité sociale du XIXème siècle.

 Les machines en fonctionnement permettent de mieux comprendre les différentes étapes et les conditions de travail des hommes, des femmes mais aussi des enfants du début de l’ère industrielle.




 Dans la deuxième partie sont évoqués :

- l’utilisation postindustrielle du tissu ou de la laine alors fabriqués à Fourmies : Atelier de bonneterie - machines à coudre et à laver - ateliers de repassage ou de teinturerie...
Le fameux baquet de nos arriéres grand-parents qui servait à la lessive , mais aussi au bain!


 Une machine a lavé que certain ont encore bien connu parmi les randonneurs.
  Les aspects de la vie sociale de la population, de l’enfance à l’âge adulte, du baptême à la communion en passant par le mariage, les conditions de vie et de travail qui ont conduit aux événements du 1er Mai 1891

 Les reconstitutions d’un estaminet, d’un intérieur ouvrier, d’une salle de classe, d’une rue avec ses magasins dévoilent les difficiles conditions de la vie quotidienne à la fin du XIX ème siècle.



 Balade dans les rues reconstituées
 Les acteurs locaux improvisés, s'en donnent a coeur joie!




L’histoire sociale de Fourmies et l’évocation de la fusillade du 1er mai 1891 sont également rappelées


La maquette des évènements

Fusil Lebel modéle 1886
La fusillade de Fourmies du 1er Mai 1891 fut un premier test pour l'invention du colonel Lebel. Autant pour son mécanisme révolutionnaire que pour son efficacité.
Le Musée du textile et de la vie sociale

Place Maria Blondeau 59610 Fourmies tél.:03.27.60.66.11
Services sur place : cafétéria, boutique de musée.
Ouvert en semaine de 9h à 12h & de 14h à 18h - Week-end et jours fériés 14h30 à 18h30

La visite terminée, les randonneur regagnèrent leurs cantonnements, pour un repos bien mérité!
 Le lundi matin aprés avoir rangé les chambres et fait les valises, les randonneurs Noyellois s'offrent une petite balade apéritive sur les remparts de "Le Quesnoy" qui débute juste derrière leur logement sur le bastion Royal
La ville a gardé intact ses remparts caractéristiques qui montrent l'évolution de l'art de la défense du XVIIe siècle (l'époque dite espagnole) au début du XXe siècle en passant par le célèbre Vauban qui en modifia l'aspect
 La Porte Fauroeulx, au fond le beffroi!
Le Quesnoy possède deux géants, conservés au premier étage de l'hôtel de ville : Pierrot Bimberlot, créé en 1904 et  Maori, en l'honneur des Néo-Zélandais de 1918, créé en 2004. Chaque premier dimanche du mois d'août, Pierrot Bimberlot parcourt la ville en distribuant des berlingots aux spectateurs.
Le monument aux Néo-Zélandais
 Les troupes néo-zélandaises qui libérèrent la ville en 1918 comptaient dans leurs rangs une compagnie théâtrale appelée digger pierrots dont les acteurs étaient grimés en Pierrot. La coïncidence est passée inaperçue à l'époque.

Sur le bastion Vert

 Sous le bastion du Gard
 Petite pose en cette belle matinée printanière, face au bastion Soyez.
 Au bas du  demi-bastion du château.
 Retour par la Porte de Valenciennes
Préparation pour la photo souvenir!
Les Randonneurs se mirent ensuite en route pour rejoindre, le restaurant "Au pied de mon arbre" situé à quelques kilomètres de "Le Quesnoy" à Gommegnies, pour le traditionnel repas de fin de séjour.

 Apéritif champêtre a l'arrière du restaurant, avant de remercier Marie-Ange et son mari Gérard
Pour l'organisation de ce beau week-end de Pentecôte, qui de plus fut ensoleillé a souhait
 Un bon repas, dans un jolie cadre
 et dans une ambiance chaleureuse, comme a l'habitude.
 Avant de se dire "Au revoir" et bonne route, et encore merci a tous pour ces bons moments partagés.
Et "A bientôt sur les chemins" et surtout vivement le prochain séjour de Pentecôte!

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