Les Randonneurs Noyellois

Une balade dans Lens au départ de la place de la république, lieux ou se dressait autrefois le château de Lens en bordure de la Souchez petite rivière, qui a partir de la se nomme Dêule, qui sera canalisé dés le moyen âge pour le commerce du drap.

Direction la gare, bel ouvrage Art-Déco, sa ligne générale rappel celle des locomotive a vapeur surélevée par une tour haute de 23 mètres. Inaugurée en août 1927, après destruction de la précédente gare pendant la Première Guerre mondialeÉdifice emblématique du mouvement Art déco, classé à l’inventaire des Monuments historiques depuis 1984

Les mosaïques intérieures rappel le travail des hommes de la région, et l'importance du rail dans son développement.

Les grilles de la gare sont les seules de ce beau bâtiment a être classés!

Nous prenons la direction du stade Bollaert, sur le parcours de nombreuses sculptures moderne

Invitent à l'imagination par les formes et le thème qu'elles représentent

Sur l'allée menant vers le musée, une belle vue vers le Stade des "Sang et Or"Le stade Bollaert-Delelis est le principal stade de football de Lens, ville du Pas-de-Calais. Construit de 1932 à 1934, il est la résidence du Racing Club de Lens depuis son ouverture. Depuis 2008, le stade peut accueillir 41 229 spectateurs, pour une ville de 36 728 habitants, mais pour une aire urbaine de plus de 550 000 habitants.
Il s'agit du sixième plus grand stade français en nombre de places assises, derrière le stade de France de Saint-Denis, le stade Vélodrome de Marseille, le Grand Stade Lille Métropole de Lille, le Parc des Princes de Paris et le stade de Gerland de Lyon.
Le stade doit son nom à deux hommes importants dans l'histoire du Racing Club de Lens : Félix Bollaert, directeur commercial de la Compagnie des mines de Lens soucieux de favoriser le développement des clubs sportifs de la région et qui décida la construction du stade en 1931, entre les fosses nos 1 et 9 de la Compagnie. Et André Delelis, maire de Lens et ministre du gouvernement Pierre Mauroy qui « sauva » le stade et l’équipe au moment où, à la fin de l’exploitation charbonnière, les houillères s’en sont dessaisi.

Arrivée sur le site du louvres Lens. Les concepteurs se sont inspirés des empreintes laissées par l'exploitation charbonnière du site, appelé «le carreau de la mine du 9». Ainsi les cheminements empruntent le tracé des anciens cavaliers, ces voies ferrées qui reliaient les fosses à la gare pour acheminer le charbon extrait. L'entrée historique du site et le puits de mine sont également préservés et intégrés comme des éléments référentiels du projet.

Parcours dans le parc, les sculptures toujours, présentent avec leurs formes diverses.

Faces au Louvres les Corons, qui reprennent une nouvelle jeunesse!

direction le "Palais"les anciens bureaux des houillères chef d'oeuvre d'architecture, art-déco lui aussi.
Longtemps interdit d'accès aux ouvriers, ce bastions du patronat, fut également la "Kommandantur" durant l'occupation Allemande. Ensuite chambre des métiers et de l'industrie aujourd'hui siège de l'université d'Artois. Bâtiment détruit en 1915 et reconstruit entre 1928 et 1930. Ses 8.780 m² témoignent de la force économique de la compagnie à cette époque, 81 mètres de façades, 3 pignons de 38 mètres de haut
Possède un lustre d’1,60 mètre de haut, des marbres, des œuvres et du mobilier de grande valeur (certains sont signés Louis Majorelle)

Un hommage aux ouvriers de la mine dans le parc.

A deux pas de la place "du Cantin", aujourd'hui Place Jeau-Jaures. La maison des Syndicats, dans cette ville ou les ouvriers non pas manqué de s'opposer au patronat, les ouviers ont eux aussi construit leur palais.Édifiée suite à la catastrophe de Courrières de 1906, elle est inaugurée en 1911

Détruite puis reconstruite après la Première Guerre mondiale, Siège des syndicats mineurs du Nord – Pas de Calais et imprimerie ouvrière. Lieu de mémoire des luttes ouvrières des mineurs. Inscrite depuis 1996 à l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques
Aujourd’hui le bâtiment accueille des expositions temporaires et un centre d’archive de l’histoire des mines. C’est aussi le siège du Pays d’Art et d’Histoire de Lens-Liévin.

Le nom de Cantin provient certainement d’un jeu populaire du Moyen Age qui constituait à courir autour d’un mannequin articulé appelé Quintan. Depuis toujours se trouvait sur cette place la fontaine Pierrefon où les lensois aimaient à recueillir l’eau fraiche. Mais en 1855, le creusement de la fosse 2 tout près a tari cette source.

Un peu plus loin entre la place du Cantin, et l'Hôtel de ville un monument en hommage à Florent Evrard, fils de mineur. Il travailla à la mine dès l’âge de 9 ans et passa en tout 28 ans au fonds de la mine de 1864 à 1892.il milite aux côtés d’Émile Basly pour l’organisation d’un syndicat des mineurs. Son militantisme lui vaudra d’être renvoyé par la compagnie des mines d’Anzin en 1883. De 1883 à 1889, il fut contraint d’exercer différents métiers pour subvenir aux besoins de sa famille.

En 1889, il arrive dans le Pas-de-Calais pour travailler aux mines de Meurchin. En 1892, il prend le poste de secrétaire général du syndicat des mineurs du Pas-de-Calais, en remplacement de Lamendin qui vient d’être élu député. Parallèlement, il fut de nombreuses années secrétaire de la Fédération nationale des mineurs. A partir de 1912, il fut administrateur de la Maison syndicale de Lens.
De 1889 à 1892, il est conseiller municipal à Bauvain (Nord). En 1900, il devient conseiller municipal à Lens, puis conseiller d’arrondissement du canton de Lens-Est en 1904.

L'église St Leger prés de l'Hôtel de ville.

La place de l'Hôtel de ville, avec ses façades art-déco là aussi, des chef d'oeuvres des années vingt! patisserie.

Quincailler!

Pharmacie! et maison particuliére d'une autre époque.

pas une villa du bord de mer mais bien Lensoise!!

Visite du Louvres Lens, descente vers les réserves!

Ouvrant sur le site et son parc, dont il facilite la traversée, le hall d'accueil central est un grand carré de verre de 3 600 m2 aux façades totalement transparentes. Il est soutenu par une structure légère de fins piliers. Il relie entre eux les deux principaux bâtiments du musée : la Grande galerie et la Galerie d'exposition temporaire.